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Questions fréquemment posées (FAQ) :

	Qui êtes-vous ?
			• Le Secours populaire français est une association à but non lucratif née en 1945. Il est habilité à recevoir des dons et legs, et a été déclaré grande cause nationale. L’association s'est donné pour mission d’agir contre la pauvreté et l'exclusion en France et dans le monde. Elle rassemble des personnes de toutes opinions, conditions et origines qui souhaitent faire vivre la solidarité. > En savoir plus sur le site du Secours populaire.
	Comment faire pour devenir bénévole ?
			• Les bénévoles donnent leur temps, leurs compétences, leur générosité, leurs savoirs faire au service de la solidarité, rejoignez nous !
	Où puis-je donner de la nourriture, des jouets, de l'argent, ...?
			• A notre permanence d'accueil et de solidarité Aigueperse nord Limagne.
	Prenez-vous des meubles et du gros électroménager ?
			• A Aigueperse, nous n'avons pas d'espace de stockage pour les dons volumineux. Nous mettons donc en relation donateurs et personnes intéressées. Pour ces dons, nous contacter au 06 52 74 87 68.
	Comment donner des vêtements ou des objets ?
			• Il est indispensable de préciser que tout ce qui est donné doit être en bon état, propre, non déchiré, d'actualité. Bien entendu s'il s'agit de jeux ou d'appareils électriques, ceux-ci doivent être en état de marche. Pourquoi donner les vêtements et objets que nous n'utiliserions pas nous même.? Il est parfois bon de rappeler que le Secours populaire n'est pas une déchetterie et que les vêtements collectés doivent être dans un état très correct pour être mis à la disposition du public, tant par respect pour les personnes accueillies que pour les bénévoles qui font un énorme travail de tri dans notre comité.
	Comment donner de l'argent, faire un legs ?
			• Voir la page Donnez - Aidez.
	Puis-je donner en toute confiance ?
			• OUI ! C'est une question qui a toujours préoccupé au plus haut point le Secours populaire français. C'est pourquoi le Secours populaire est un des membres fondateurs du Comité de la Charte de déontologie des organisations sociales et humanitaires faisant appel à la générosité publique. Le label, décerné chaque année, après de nombreux contrôles, est illustré par le droit de faire figurer le logo "DON en CONFIANCE".
	J'ai une question générale et je ne sais pas à qui adresser mon message ?
			• Veuillez remplir le formulaire.
	Puis-je consommer un produit dont la date limite de consommation (DLC) ou la date limite d'utilisation optimale (DLUO) est dépassée ?
			• Qu'est-ce que la DLC ? (Date limite de consommation) La DLC est une date limite impérative qui est apposée sur les denrées microbiologiquement périssables susceptibles après une courte période, de présenter un danger immédiat pour la santé humaine. La DLC est laissée à l'appréciation du professionnel, sauf pour quelques produits où la réglementation s'impose. • Comment s'indique la DLC ? La DLC s'exprime sur les conditionnements par la mention : "A consommer jusqu'au..." suivie de l'indication du jour et du mois. Un produit de consommation comporte une DLC dépassée. Que faut-il faire ? Le produit peut être vendu le jour de la DLC, mais doit être retiré de la vente le lendemain de la DLC dépassée. • Qu'est-ce que la DLUO ? (Date limite d'utilisation optimale) La DLUO est une date indicative qui est apposée sur les denrées qui, une fois la date passée, peuvent avoir perdu tout ou partie de leurs qualités spécifiques, sans pour autant constituer un danger pour celui qui les absorberait. • Comment s'indique la DLUO ? La DLUO s'exprime sur les conditionnements par la mention "A consommer de préférence avant le...", suivie de l'indication suivante : - "jour et mois" pour les produits d'une durabilité inférieure à 3 mois ; - "mois et année" pour les produits d'une durabilité comprise entre 3 et 18 mois ; - "année" pour les produits d'une durabilité supérieure à 18 mois. Texte de référence : Article R 112-9 alinéa 5 du code de la consommation Source : www.minefi.gouv.fr
			Viande de cheval ?
			• Les produits dans lesquels il y a de la viande de cheval pourraient être distribués aux associations. Le Secours populaire rappelle, comme dès le premier jour, que si l'association a l’entière assurance que les produits ne présentent aucun danger pour la santé, que l’étiquetage concernant leurs origines et leur provenance est clairement identifié, que la chaîne du froid a été scrupuleusement respectée, alors, le SPF est prêt à développer une grande chaîne de solidarité et à faire tout pour que rien ne soit jeté. Sachant le nombre important de produits concernés, l'association attend un soutien technique et financier pour les questions de logistique propres au transport et stockage de marchandises frigorifiées qui ne devront pas engendrer un surcoût pour les associations de solidarité. Si toutes ces conditions et garanties sont réunies, le Secours populaire mettra tout en œuvre pour que ces produits soient proposés aux personnes aidées dans les permanences d’accueil et de solidarité.
			A propos de la gestion des excédents alimentaires ?
			• Rien ne sert de légiférer si les associations ne peuvent gérer les stocks de marchandises qui leur sont restitués. La plupart d'entre elles n'ont ni les infrastructures, ni les moyens logistiques, ni le nombre de bénévoles suffisant pour pouvoir administrer, conserver et redistribuer les tonnes d'aliments qui devraient leur revenir. Partant de là ce qui n'est pas périmé dans les super-marchés devient périmé par la suite car il est impossible de tout conserver et de tout distribuer. Donc, ne mettons pas la charrue avant les bœufs, il faut que l’État s’engage en dotant les associations qui manquent de frigos, de camions frigorifiques, voir de locaux, de bénévoles, et avec un peu de soutien salarial et organisationnel. 31/08/2015 > Gaspillage alimentaire : réaction de Julien Lauprêtre

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