Alexandre
a 21 ans. ll est obligé de cumuler deux emplois
précaires pour payer ses études et la
minuscule chambre qu'il occupe.
Caroline, 43 ans, élève seule sa fille et
enchaîne les CDD.
Pierrette, qui est à la retraite, a reçu un
avis d'expulsion. Elle doit quitter le deux-pièces
qu'elle occupe depuis bientôt 30 ans...
Ces trois personnes ne sont que quelques exemples parmi
des milliers d'autres qui subissent de plein fouet la
montée de la précarité dans notre
pays.
Sans doute n'êtes-vous pas surpris en lisant ces
lignes. Vous vous dites que vous le saviez
déjà, qu'ils ne sont pas les seuls à
"galérer" que vous connaissez vous-même
quelqu'un dans votre entourage qui doit aujourd'hui faire
face à de graves difficultés...
Mais les problèmes économiques qui plongent
tant de familles près de chez nous, dans la
pauvreté, I'inquiétude et le désarroi,
m'obligent à vous interpeller aujourd'hui.
Partout le chômage, les loyers, le prix de
l'énergie augmentent et mettent de nombreux foyers en
situation de précarité, notamment
énergétique. C'est d'ailleurs d'autant plus
criant cette année qu'en raison du froid, le
chauffage a dû fonctionner jusqu'au mois de
mai.
Jeunes, familles monoparentales, personnes
âgées disposant d'une faible retraite...
Les situations d'exclusion sont de plus en plus nombreuses.
Certaines personnes, qui ont pourtant un travail, n'arrivent
même plus à s'en sortir et à nourrir
correctement leur famille jusqu'à la fin du mois
!
Cette année, nos permanences d'accueil et de
solidarité ont déjà dû
répondre à 20 % de demandes d'aide en
plus par rapport à l'année dernière
!
Pour des personnes comme Alexandre, Caroline ou
Pierrette, qui ne savent plus comment faire pour s'en
sortir, le Secours populaire reste le dernier recours.
Nos bénévoles, dans toute la France, sont au
plus près de ceux qui en ont besoin.
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Nous apportons une aide concrète aux plus
démunis : accompagner et orienter les personnes en
situation d'exclusion dans leur recherche d'emploi ou
appuyer des jeunes en difficulté comme Alexandre qui
ne peuvent financer à la fois un logement, des
études et leurs dépenses de
santé...
>
Nous apportons une aide alimentaire à travers nos
libre-services de la solidarité pour que des
mères seules comme Caroline puissent continuer
à nourrir leurs enfants dignement.
>
Nos permanences d'accueil, de solidarité et
relais-santé sont mobilisées pour
répondre aux difficultés que rencontrent les
personnes démunies comme Pierrette, les accompagner
dans la défense de leurs droits, dans l'accès
à la santé et leur redonner espoir.
Mais notre Comité d'Aigueperse Nord-Limagne manque de
moyens pour faire face à des situations de
détresse de plus en plus alarmantes et de plus en
plus nombreuses.
C'est pourquoi j'en appelle à votre
générosité, afin de redonner confiance
et dignité à ceux qui en ont le plus
besoin.
Quel que soit le montant de votre don, 30, 40,
50 euros ou même plus si vous le pouvez, vous
nous permettrez d'apporter une aide concrète aux
familles démunies qui vivent à
côté de chez nous.
Merci
de nous donner les moyens de leur venir en aide
!
Jean-Claude MERLE
Secrétaire général du Comité
Aigueperse Nord-Limagne du Secours populaire
français.
P.S. : L'hiver s'annonce rude pour ceux qui ont du mal
à joindre les deux bouts.
C'est seulement grâce au soutien de nos
généreux donateurs dont vous faites partie que
nous pourrons continuer à leur venir en
aide.
Un
combat tout simplement
indispensable.
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Se
résigner ? Surtout pas. Fermer les yeux ?
Impossible !
Quand
la pauvreté et la précarité
laissent toujours plus d'hommes et de femmes sur le
carreau, nous devons nous serrer les coudes et agir
tous ensemble.
La
solidarité, c'est ce qu'il y a de plus beau
dans la vie. Je soutiens les actions du Secours
populaire et je vous invite à faire de
même.
Plus
nous serons nombreux, plus nous serons fort contre
la pauvreté.
Je
compte sur vous
!
Nicoletta
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Déduction
fiscale :
UN DON DE 60 € NE VOUS
COÛTE que 15 € !
Chaque
don au Secours populaire français vous donne
droit à une déduction fiscale de 75%
de votre don dans la limite de 521 € versés.
Ainsi, votre don ne vous coûte que le quart
de son montant. Au-delà la réduction
est de 66% dans la limite de 20% de votre revenu
net imposable.
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