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suffit de si peu de choses et de si peu de temps : un
divorce ou une séparation, un accident, la perte d'un
emploi, et c'est toute une vie et parfois toute celle d'une
famille qui bascule.
Et comment faire lorsqu'on se retrouve seule pour
élever ses enfants avec des revenus qui couvrent
à peine le loyer et le chauffage
?
Se
serrer la ceinture ? Pour de plus en plus de mamans qui
osent frapper à la porte de nos permanences d'accueil
et de solidarité, cela ne suffit même plus
!
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Mois
après mois, avec la hausse des coûts
de l'énergie et des produits de base, ce qui
leur reste poursuivre est insuffisant pour couvrir
les besoins de première
nécessité de leurs
enfants.
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Et
bien souvent quand le 15 du mois approche, le
réfrigérateur est déjà vide et
ne se remplira plus !
Alors, quand manger devient un casse tête, c'est une
véritable souffrance qui dépasse la seule
faim, que ressentent ces
mamans.
"Le
plus difficile, c'est de dire aux enfants, ce n'est pas
possible, nous n'avons pas assez d'argent", nous confie
Sandra, maman de 2 enfants.
"Ma
situation me fait honte vis-à-vis de mes enfants, je
ne peux leur donner ce qu'ils veulent", nous dit
Maryline, mère de 4
enfants.
Des
témoignages de détresse, comme ceux-ci, nos
bénévoles en entendent tous les jours dans nos
permanences d'accueil. D'autant plus que la crise de ces
deux dernières années a fragilisé des
milliers de personnes supplémentaires
!
Nous
imaginons que, comme nous, vous ne pouvez supporter
l'idée qu'une mère, malgré la meilleure
des volontés, ne puisse répondre aux besoins
essentiels de son enfant.
C'est pourquoi nous en appelons à nouveau à
votre
générosité.
Alors
que le mois d'octobre annonce le début d'une saison
difficile, nous devons plus que jamais aider les familles
démunies qui, près de chez nous dans le Canton
d'Aigueperse, n'ont plus que le Secours populaire en fin de
mois pour se nourrir...
Nos
bénévoles comptent sur vous pour leur
permettre de venir en aide aux familles de notre canton.
Merci de nous aider à venir à leur secours
quand les fins de mois sont trop
difficiles.
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Votre
don, quel qu'en soit le montant 30, 40, 50 euros ou
même plus si vous le pouvez, nous permettra
de leur apporter cette aide vitale : de la
nourriture équilibrée, des
vêtements, une aide pour conserver leur
logement, pour préserver leur
dignité, leur donner l'accès aux
soins, à la culture, aux loisirs et au
sport.
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Grâce
à vous, nous pourrons tout mettre en uvre pour
permettre à ces enfants et leur maman
d'échapper à la
précarité.
Au
nom de toutes ces mamans qui ont osé faire le premier
pas en poussant notre porte, nous vous remercions du geste
que vous pourrez faire.
Nous
comptons sur vous !
Patrick
Poivre d'Arvor
©
A PRIME GROUP
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Le
mot de Patrick Poivre d'Arvor.
CHACUN
DE NOUS EST CONCERNÉ...
CONTRE LA PAUVRETÉ, AGISSONS
TOUS ENSEMBLE !
La
solidarité, j'y crois. Plus qu'un mot, c'est
un formidable élan qui permet à ceux
qui souffrent de rester dignes quand la vie fait
mal. En ces temps difficiles ou la misère et
la précarité progressent chaque jour
davantage, le Secours populaire est là,
fidèle, humain et généreux.
Mais le Secours populaire a besoin de votre soutien
pour agir.
Logement, nourriture, santé... Tant de
familles sont en souffrance : Il y a urgence !
Merci
de faire un geste pour ceux qui en ont
besoin.
Patrick
Poivre d'Arvor
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Déduction
fiscale :
UN DON DE 60 € NE VOUS
COÛTE que 15 € !
Chaque
don au Secours populaire français vous donne
droit à une déduction fiscale de 75%
de votre don dans la limite de 521 € versés.
Ainsi, votre don ne vous coûte que le quart
de son montant. Au-delà la réduction
est de 66% dans la limite de 20% de votre revenu
net imposable.
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MERCI
pour votre soutien aux familles les plus
démunies.
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PAROLES
DE MAMANS ...
"J'ai
peur, comment pourrons-nous manger et
vivre sans argent". Quand je vois le
réfrigérateur avec 4 yaourts
le 15 du mois et que mon compte est dans
le rouge avant même le 20, je ne me
couche pas un soir sans pleurer et prier
pour que ma fille ne ressente pas cette
souffrance !" Martine
E.
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"Je
suis maman célibataire. Mon fils est
orphelin de père. Je travaille, j'ai un
salaire et je gagne trop pour
bénéficier d'aides. Malheureusement,
lorsque j'ai payé le loyer, l'eau,
l'électricité, l'assurance, la
crèche, il ne me reste plus rien pour
manger." Sophie P.
"J'ai
tellement pas d'argent que mon gamin, il
va à l'école avec un morceau
de sucre pour le
goûter...".
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